Bonjour, c'est Laurent,
Voici un portrait de Picasso que vous connaissez probablement si vous êtes un(e) inconditionnel(le) de ce peintre.
L'auteur de cette image est feu Robert Doisneau, le photographe préféré des Français.
Celui-ci a livré des souvenirs de cette prise de vue dans son livre "Imparfait de l'objectif, souvenirs et portraits" (éditions Babel, 1995).
En voici un extrait:
(Doisneau est arrivé dans la cuisine de la maison de Picasso, où il trouva celui-ci attablé)
Sur la nappe, deux petits pains en forme de mains.
"Vous voyez, c'est une idée de boulanger, ils n'ont que quatre doigts. C'est pour cela qu'il les a baptisés des Picasso."
Comme il paraissait d'excellente humeur, j'ai osé mettre un pain de chaque côté de son assiette. Il a fait le geste que je souhaitais, mettant les bras au ras de la table avec les pains dans leur prolongement.
Avec Picasso, c'était bien facile, il suffisait de lui tendre un accessoire, il improvisait immédiatement un pas de deux.
Voici un portrait de Picasso que vous connaissez probablement si vous êtes un(e) inconditionnel(le) de ce peintre.
L'auteur de cette image est feu Robert Doisneau, le photographe préféré des Français.
Celui-ci a livré des souvenirs de cette prise de vue dans son livre "Imparfait de l'objectif, souvenirs et portraits" (éditions Babel, 1995).
En voici un extrait:
(Doisneau est arrivé dans la cuisine de la maison de Picasso, où il trouva celui-ci attablé)
Sur la nappe, deux petits pains en forme de mains.
"Vous voyez, c'est une idée de boulanger, ils n'ont que quatre doigts. C'est pour cela qu'il les a baptisés des Picasso."
Comme il paraissait d'excellente humeur, j'ai osé mettre un pain de chaque côté de son assiette. Il a fait le geste que je souhaitais, mettant les bras au ras de la table avec les pains dans leur prolongement.
Avec Picasso, c'était bien facile, il suffisait de lui tendre un accessoire, il improvisait immédiatement un pas de deux.
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